Louvre
vendredi 13 février 2009
Les Rues d’hiver
Dans les rues d’automne mes pas vont rester et tout l’abandon que je sentais va passer.
Les feuilles tombées qu’un jour le vent va emporter, mes yeux verront seulement que tout pourra changer.
Je suis revenu parmi les fleurs de la route, pour te dire que sans toi il n’y a plus rien.
Je veux t’avoir bien plus que proche, avec toi je sens le ciel ouvert.
Ce serait un livre je si raconterais tout ce que m’est arrivé avant de retrouver
Je prends ta main et je prie que tu m’écoutes, ton regard me dit que tu veux m’accompagner.
Les feuilles tombées qu’un jour le vent va emporter, mes yeux verront seulement que tout pourra changer.
Je suis revenu parmi les fleurs de la route, pour te dire que sans toi il n’y a plus rien.
Je veux t’avoir bien plus que proche, avec toi je sens le ciel ouvert.
Ce serait un livre je si raconterais tout ce que m’est arrivé avant de retrouver
Je prends ta main et je prie que tu m’écoutes, ton regard me dit que tu veux m’accompagner.
Phénix
Moi.
Prisonnier malgré moi
J’ai découvert dans l’ombre une constellation
Cieux.
J’ai connu les cieux à travers tes yeux, voie de contemplation
Dieu, j’ai fus condamné à forger l’amour dans l’acier de la rancœur
Et à transposer les vilaines lois des hommes.
Je marche entre la rédemption et la splendeur de pour toi vivre.
Oui, j’ai voulu sortir de moi, oublier qui je suis et respirer pour toi
Et comme ça transposer les lois radines des humains.
Agonise vierge phénix de l’amour parmi les cendres, arc-en-ciel, splendeur
pour vivre les promesses de satisfaire à l’ego mortel.
Tendre chose, feu divin, t’es renée des cendres.
Oiseau blessé.
Lumière de ma vie
Pierre d’alchimie
Tout ce que je voulais : renaître des cendres
L’amour
Quand le froid vient nous réchauffer le cœur
Quand la nuit fait naître la lumière de l’obscurité
Et la douleur révèle la plus splendide émotion
Prisonnier malgré moi
J’ai découvert dans l’ombre une constellation
Cieux.
J’ai connu les cieux à travers tes yeux, voie de contemplation
Dieu, j’ai fus condamné à forger l’amour dans l’acier de la rancœur
Et à transposer les vilaines lois des hommes.
Je marche entre la rédemption et la splendeur de pour toi vivre.
Oui, j’ai voulu sortir de moi, oublier qui je suis et respirer pour toi
Et comme ça transposer les lois radines des humains.
Agonise vierge phénix de l’amour parmi les cendres, arc-en-ciel, splendeur
pour vivre les promesses de satisfaire à l’ego mortel.
Tendre chose, feu divin, t’es renée des cendres.
Oiseau blessé.
Lumière de ma vie
Pierre d’alchimie
Tout ce que je voulais : renaître des cendres
L’amour
Quand le froid vient nous réchauffer le cœur
Quand la nuit fait naître la lumière de l’obscurité
Et la douleur révèle la plus splendide émotion
Très Peu
Ça y est.
Maintenant que tout est redevenu comme avant
Peut-être tu réussisses être un peu moins roi et un peu plus réal.
Oublie.
Les heures ne marchent jamais en arrière.
Chaque jour est jour d’apprendre un peu de tout ce que la vie apporte.
Mais beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est un peu trop.
Ça suffit
Ne me condamne pas pour tes peines.
Les poids et les mesures ne servent pas à nous comparer.
Parce que je n’appartiens pas au même endroit dont tu plonges si ras je peux même pas essayer de te sauver.
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est un peu trop.
Vois
La qualité est inférieure et c’est pas la quantité que fait la structure d’un grand amour
Simplement sois ce que tu juges être le mieux
Mais rappelle toi que tout que commence par un beaucoup peut se finir beaucoup pire.
Et beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu je ne veux même plus.
Peu je ne veux plus.
Peu je veux plus.
Maintenant que tout est redevenu comme avant
Peut-être tu réussisses être un peu moins roi et un peu plus réal.
Oublie.
Les heures ne marchent jamais en arrière.
Chaque jour est jour d’apprendre un peu de tout ce que la vie apporte.
Mais beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est un peu trop.
Ça suffit
Ne me condamne pas pour tes peines.
Les poids et les mesures ne servent pas à nous comparer.
Parce que je n’appartiens pas au même endroit dont tu plonges si ras je peux même pas essayer de te sauver.
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est un peu trop.
Vois
La qualité est inférieure et c’est pas la quantité que fait la structure d’un grand amour
Simplement sois ce que tu juges être le mieux
Mais rappelle toi que tout que commence par un beaucoup peut se finir beaucoup pire.
Et beaucoup pour moi c’est si peu et peu c’est très peu, c’est trop peu,
Vivre va me rendre folle, je ne sais plus de quoi je suis capable
Je crie pour ne pas être aphone
En guerre combattant pour la paix
Beaucoup pour moi c’est si peu et peu je ne veux même plus.
Peu je ne veux plus.
Peu je veux plus.
mercredi 11 février 2009
Tempête Solaire
T’as provoqué des tempêtes solaires dans mon cœur et mon âme de garçon.
Tu fais ce que tu veux.
Tu m’as exaspéré.
Tu ne sais pas vivre où je suis.
Alors adieu.
Ou sois une autre, quelqu’un qui puisse supporter mon soleil.
T’as provoqué des tempêtes lunaires dans mon corps.
Avec les ruses délicates de ton âme de fille
Tu fais de moi ce que tu veux.
Tu t’es exaspérée.
Je ne sais pas vivre où t’es.
Alors adieu. Ou sois une autre, quelqu’un qui puisse voire mes lunes
Tu fais ce que tu veux.
Tu m’as exaspéré.
Tu ne sais pas vivre où je suis.
Alors adieu.
Ou sois une autre, quelqu’un qui puisse supporter mon soleil.
T’as provoqué des tempêtes lunaires dans mon corps.
Avec les ruses délicates de ton âme de fille
Tu fais de moi ce que tu veux.
Tu t’es exaspérée.
Je ne sais pas vivre où t’es.
Alors adieu. Ou sois une autre, quelqu’un qui puisse voire mes lunes
Faire le Pied 2
Comme le visage ne montre pas toujours ce que l’anima désire vraiment.
Comme les mains sont trop agiles pour accompagner leurs mouvements.
Comme les bras parfois ne savent pas quoi faire, où aller, où s’appuyer.
Comment découvrir par l’observation les machinations de la cervelle d’en face.
Regarde en bas ma belle.
Qui fait le pied, montre ce qu’il veut !
Comme les mains sont trop agiles pour accompagner leurs mouvements.
Comme les bras parfois ne savent pas quoi faire, où aller, où s’appuyer.
Comment découvrir par l’observation les machinations de la cervelle d’en face.
Regarde en bas ma belle.
Qui fait le pied, montre ce qu’il veut !
Provocation
Ça prétend être un texte intéressant, les paroles d’une chanson, un poème, mais pour l’instant il est seulement une mise à nu des souvenirs d’un dimanche d’été…
Tout ça parce que heureusement mes instincts les plus humains ne se fatiguent pas de me trahir et la vision d’un beau garçon m’apporte toujours des effets bénéfiques.
C’est ce que s’est passé ce dimanche là. Je traînais délicatement devant une librairie quand j’ai vu un garçon que m’a beaucoup provoqué.
Ce garçon portait un bermuda au lieu d’un pantalon. Ça m’a toujours attiré l’attention, les jambes masculines. Et comme le climat européen ne nous permet pas toujours d’être autant à l’aise, ça me choque et me plaît encore plus.
Et voilà que ce jeune homme en bermuda m’a fait craquer. La perfection des ses poils, la beauté de la couleur de sa peau en absence de soleil, la délicatesse de ses pieds et surtout les trois grains de beauté en forme de triangle sur le mollet droit m’ont hypnotisé.
En plus il avait aussi un visage assez agréable à regarder, doux, simple et sympathique, les cheveux longs et châtains…
La première chose que m’est venue à la tête c’est c’était une provocation ! Personne peut montrer des si belles jambes seulement parce qu’il a chaud. Non, j’étais persuadé qu’il le faisant par méchanceté, par plaisir de plaire, juste pour qu’on l’admire et qu’on veuille baiser son corps entier.
Même content de pouvoir contempler une telle scène, je trouvais ça pas trop faire Play, ce n’est pas juste de se vanter comme ça et surtout de faire tout le monde te désirer, mais bon ce que me dérange le plus c’est que je me suis rendu compte que j’aurais préféré juste le mater sans rien voir et imaginer les contours de ses jambes et sa symétrie des poils.
Bref
Bon, je commence à me toucher et je pense à lui, en espérant qu’une brillante composition puisse apparaître de mon récit.
Tout ça parce que heureusement mes instincts les plus humains ne se fatiguent pas de me trahir et la vision d’un beau garçon m’apporte toujours des effets bénéfiques.
C’est ce que s’est passé ce dimanche là. Je traînais délicatement devant une librairie quand j’ai vu un garçon que m’a beaucoup provoqué.
Ce garçon portait un bermuda au lieu d’un pantalon. Ça m’a toujours attiré l’attention, les jambes masculines. Et comme le climat européen ne nous permet pas toujours d’être autant à l’aise, ça me choque et me plaît encore plus.
Et voilà que ce jeune homme en bermuda m’a fait craquer. La perfection des ses poils, la beauté de la couleur de sa peau en absence de soleil, la délicatesse de ses pieds et surtout les trois grains de beauté en forme de triangle sur le mollet droit m’ont hypnotisé.
En plus il avait aussi un visage assez agréable à regarder, doux, simple et sympathique, les cheveux longs et châtains…
La première chose que m’est venue à la tête c’est c’était une provocation ! Personne peut montrer des si belles jambes seulement parce qu’il a chaud. Non, j’étais persuadé qu’il le faisant par méchanceté, par plaisir de plaire, juste pour qu’on l’admire et qu’on veuille baiser son corps entier.
Même content de pouvoir contempler une telle scène, je trouvais ça pas trop faire Play, ce n’est pas juste de se vanter comme ça et surtout de faire tout le monde te désirer, mais bon ce que me dérange le plus c’est que je me suis rendu compte que j’aurais préféré juste le mater sans rien voir et imaginer les contours de ses jambes et sa symétrie des poils.
Bref
Bon, je commence à me toucher et je pense à lui, en espérant qu’une brillante composition puisse apparaître de mon récit.
Orfée sans Eurydice
J’aurais aimé chanter en hommage à un amour
J’aurais voulu vivre pour le bonheur d’un autre
J’aurais vécu pour donner ma vie à un autre
J’aurais maudit la mort pour m’avoir volé la chose aimé
J’aurais apprécié passer mes jours à coté de la même personne
J’aurais voulu vivre pour le bonheur d’un autre
J’aurais vécu pour donner ma vie à un autre
J’aurais maudit la mort pour m’avoir volé la chose aimé
J’aurais apprécié passer mes jours à coté de la même personne
J’aurais tué pour défendre mon être aimé.
J’aurais pleuré de nostalgie.
J’aurais crié de désespoir
J’aurais pleuré de nostalgie.
J’aurais crié de désespoir
J’aurais sacrifié la lumière des mes yeux pour voir une dernière fois l’amour
J’aurais imploré la pitié des dieux et le droit d’aller en enfer et devenir pierre, chercher mon amour et échouer.
J’aurais autant touché les cordes mon harpe en hommage à l’absente que je sentirais le sans s’écouler de mes doigts fatigués mais toujours vifs.
J’aurais aimé aimer, mais je ne suis qu’un Orfée sans Eurydice ! A quoi bon jouer ?
Mon bonheur est l’amour de la vie solitaire
Je ne regrette pas
Je ne regrette pas notre histoire.
Je ne regrette pas de t’avoir eu
Tu ne devrais pas me maudire comme ça
Je t’ai vu grandir et évolué
Je t’ai fait grandir et évolué
J’ai vu aussi tu me faire grandir outre moi.
Je ne regrette pas de t’avoir eu
Tu ne devrais pas me maudire comme ça
Je t’ai vu grandir et évolué
Je t’ai fait grandir et évolué
J’ai vu aussi tu me faire grandir outre moi.
Ni le plus grand des tes erreurs, mes erreurs, remords peuvent nier la vérité de ce que j’ai dis.
Rien, même si je meurs, même si j’oublie, rien ne peut t’effacer de moi ou m’effacer de toi
Je me suis inscrit dans esprit et toi dans le mien.
J’ai dessiné mon âme dans ton âme.
Rien, même si on meurt, rien ne changera notre court passage ensemble.
Je vois ces nouvelles personnes et ça ne change toujours pas.
Je ne regrette pas ce qu’on a eu, j’en suis fier, ravi et content que ça soit fini.
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